ÉVIDENCES SCIENTIFIQUES DE L’ÉPOPÉE D’ENKI ET DES « DIEUX » D’ORION


La chercheuse-historienne Bleuette Diot donnait une conférence sur le thème de l’Archéologie Interdite.

Mme Diot vient de publier aux éditions Dorval un essai intitulé « Histoires Secrètes des Civilisations, de Göbekli Tepe à Sumer ». Nous l’avons donc interrogé à propos de l’Archéologie Interdite en générale, et du site archéologique de Göbekli Tepe, vieux d’au moins 12 000 ans. Voici un extrait de son livre :

« La science respecte-t-elle ses propres principes, à savoir : étudier les faits et rien que les faits, même s’ils contredisent les théories établies ? Et bien, ma réponse est non.

Hélas, le filtrage des connaissances est communément pratiqué à partir du moment où les trouvailles archéologiques ne cadrent pas avec ce qui est officiellement admis, interdisant par là même à la science de progresser ! Une sorte d’autocensure s’opère spontanément dès que les faits ne cadrent pas avec ce que nous pensons détenir comme acquis. Si un certains nombre de chercheurs dissidents dénoncent aujourd’hui cette forme d’occultisme, d’autres experts en revanche, s’imaginant peut-être détenir le monopole de la Vérité, n’hésitent pas à traiter de pseudo-scientifiques tous ceux qui refusent d’entrer dans le moule académique. Déjà à l’inverse, il est souvent reproché aux historiens et archéologues conservateurs d’avoir trop souvent tendance à privilégier leurs propres théories au détriment des faits eux-mêmes, voire de les ignorer quand ceux-ci ne cadrent pas avec les théories admises. »

Propos recueillis par Raphaël Berland et Vincent Bonenfant

 

Source : http://kiriany.fr/entretien-bleuette-diot-larcheologie-interdite