LES O.V.N.I. CODÉS DE LA RENNAISSANCE


On pourrait penser que la Renaissance française est une époque bien mise à plat, où tout est connu et définitivement archivé. Les châteaux de la Loire ne seraient que de luxueuses demeures de plaisance, le roi François 1er un monarque plutôt futile et Léonard de Vinci le génie prodigieux que l’on croit.

Ces images d’Épinal ne sont que la caricature d’une perception plus profonde où la Royauté a codifié son architecture, mettant Léonard à contribution. Les Rois de France étaient détenteurs de secrets relatifs aux Ovnis ; ils ont généré un chiffrage complexe et logique de toutes les formes d’Art de l’époque.

À la Renaissance, les châteaux sont enluminés d’une décoration architecturale qui reste mystérieuse. Les Historiens classiques se contentent de nommer les différents motifs mais se trouvent dans l’incapacité de les expliquer.

On peut pourtant penser que cette myriade de grotesques et d’éléments énigmatiques comportent une
finalité non comprise, échappant totalement à notre conditionnement culturel. La Renaissance est la grande époque de la 
cabale Chrétienne, inspirée des techniques de la Kabbale hébraïque, qui vise à une lecture
parallèle des textes sacrés.

La cabale utilise les jeux de lettres et les spéculations sur les mots pour faire jail lir de la langue tous les secrets qu’elle recèle. On conserve du XVI..., siècle les noms de cabalistes émérites, tels Guillaume Postel, Cornélius Agrippa, Paracelse, voire Nostradamus lui même.

La langue française de l’époque donne effectivement la clef de compréhension d’un grand Message parallèle.

Nombre de sculptures évoquent la forme d’un ovni ! Encore faut-il oser le penser et donc échapper à la version officielle qui snobe à cent pour cent ce type d’approche.

Aux yeux des historiens, l’histoire de l’art est définitivement connue et rien de fondamentalement nouveau ne peut en sortir. Cette position est évidemment pratique et confortable pour les intérêts en place, mais dénature le principe même de toute recherche.

figure 1a : Châteaux de Blois et Châteaudun

Les trois motifs des figures 1 sont en fait montrés à l’envers, (même si ce n’est spécifié que dans le premier cas). Ces retournements de 180 degrés sont une clef décisive, permettant de révéler… l’ovni classique, discoïdal, avec le dôme sommital et même les hublots !

(À noter que le château de Blois fut une résidence royale où Louis XII et François 1er résidèrent. On trouve des motifs similaires en différents lieux connus de la Renaissance, notamment dans les châteaux de Chenonceau et Châteaudun).

figure 1b : Châteaux de Blois et Châteaudun

En fait, ces objets étranges apparaissent d’abord comme des assemblages de « plats » ou « pots », et l’on sait que les ovnis sont souvent décrits comme ayant la forme d’une assiette vue à l’envers. Le « grand pot » en ancien-français est un « OLE »; lu à l’envers, il donne ELO, qui a le sens de « un dieu » en Hébreu.

Et justement, l’Hébreu est la langue originale de la Bible, le texte sacré de la religion catholique. Le décorateur semble suggérer le dieu qui voyage dans le ciel dans un grand pot retourné.

Renforçant cette filière linguistique, l’expression MI OLE pourrait être formulée par sculpture elle-même, à savoir : MOI POT.

figure 1c : Châteaux de Blois et Châteaudun

La figure 2 montre une assiette enfoncée dans le mur, elle n’est pas la seule à ne montrer que sa moitié. Or, MI-OLE signifiait aussi MOITIE POT, ce qui convient à la la description de l’objet. Là encore lu à l’envers, ce MI OLE devient ELOHIM, mot biblique l’on a traduit par Dieu.

À la vérité, « Elohim » est un pluriel restitué plutôt par « les dieux » et ne désigne donc pas le Créateur, mais de simples créatures supérieures à l’Homme. Tout ceci éclaire singulièrement les motifs décoratifs, en tant qu’artéfacts appartenant aux dieux.

Comment ne pas penser à des extraterrestres, symbolisés par le vaisseau spatial dans lequel ils voyagent ?

On retrouve partout ce mot OLE en tant que catalyseur du cryptage de la Renaissance. La fameuse cathédrale de Chartres comporte un jubé de la même époque, comme l’attestent les F emblématiques de François 1er .

figure 2 : Château de Chenonceau

Pour qui sait le voir, le codage ovnien s’y déploie à profusion comme le montre par exemple la figure 3. Le « crâne » d’un ange est dans un « pot’: un OLE, et justement le « crâne » se disait lui aussi OLE !

Le codage Renaissance est toujours affaire de calembours et de jeux de mots. Le « ole » est dans le « ole » ; c’est-à dire que le dieu est dans son vaisseau.

Le château de Chambord est le legs architectural de François 1er ; palais immense et parfaitement… inutile tout au long de l’Histoire. Chambord est avant tout l’expression de l’Art Royal ou cabalistique qui avait cours dans les cercles du pouvoir.

figure 3 : Cathédrale de Chartres

La figure 4 se rattache à ce que nous avons déjà dit : un ange est debout sur un « grand pot »; on retrouve le ELO (le dieu) et le OLE (le vase). Le piédestal de l’ange est une « coupe » ou NEF, mot signifiant aussi « navire ».

L’ange semble tenir les rênes d’un char et pilote son « vaisseau’: d’autant plus que ce terme désignait aussi un « vase » ! Les formes sont insignifiantes et ont pour fonction d’appeler un vocabulaire précis qui est le message des bâtisseurs.

Quant à Léonard de Vinci, il était en relation suivie avec les rois de France, d’abord Louis XII, puis François 1er qui l’invita à venir vivre en France. Le plus célèbre artiste-ingénieur de son temps peut être suspecté d’avoir été initié au grand secret de la Royauté.

figure 4 : Château de Chambord

On considère trop facilement que Léonard sortit de son cerveau les intuitions géniales qu’il développa dans ses carnets. Un tel personnage hors norme échappe en fait aux conceptions habituelles et limitatives ; on ne peut le cerner qu’en faisant appel à des hypothèses novatrices et audacieuses.

Lui qui travailla comme personne sur une machine volante avait peut-être accès à une source d’informations fabuleuse, venant d’un lointain passé. 

Cet article ne donne qu’un aperçu d’une façon radicalement différente d’appréhender la Renaissance. En fait, tout l’Art nobiliaire du XVIème siècle est le support idéal d’une science secrète, qui transmet au futur les grands secrets Royaux.

Il s’agit de l’origine de la religion catholique, de la nature des Anges : au delà des figures mythologiques connues, ils sont plutôt des êtres réels et tangibles. Je pense que les érudits avaient des informations sur l’immixtion de civilisations extérieures dans les affaires humaines.

On pense bien sûr à des épisodes bibliques où manifestement les « dieux » ont pris contact avec les hommes, pour infléchir l’évolution terrestre. Les anges ou les dieux sont alors perçus comme des extraterrestres, et les ovnis actuels correspondent à leurs chars volants.

Léonard de Vinci apparaît, de par sa relation avec les Rois, comme un grand initié à cette mise en scène intellectuelle. La vérité sur la Renaissance française et son savoir relatif aux êtres sur-humains sembleront à beaucoup totalement farfelus.

La cause en est simplement le conditionnement limitatif entretenu par les historiens diplômés.

Source : Didier Coilhac/Top Secret N°28

Source : stopmensonge.com