LE REMIX DE L'HISTOIRE


Par Thibault Erikson

 

Partie 3

 

Qu'est-il survenu sur la planète Mars ?

 

On s'entend généralement pour dire que la Terre a connu des bouleversements géologiques d'envergure colossale.

 

Le débat naît plutôt du moment où ces événements seraient survenus. Les cataclysmes qui ont secoué la Terre ont également perturbé l'ensemble de notre système solaire car les autres planètes en portent des traces visibles à leurs surfaces, dans leurs atmosphères, dans l'angle de leur rotation ou la vitesse de leurs orbites.

 

De nombreux chercheurs s'intéressent à la destruction à la surface de la planète Mars et à sa corrélation avec la dévastation survenue sur Terre.

 

Les têtes se sont tournées vers Mars en raison des nombreuses sondes que l'on y a envoyées et des prétendues difficultés techniques qui ont empêché la transmission d'images à notre intention.

Je reste songeur... Car ces défaillances sont l'oeuvre de la NASA qui fut fondée par les Illuminati et qui reste sous leur contrôle. 

Les défaillances faisaient suite à la diffusion de photos prises dans une région que l'on appelle Khanüi qui semble façonnée par des formations rocheuses artificielles où l'on trouve le fameux visage à la surface de Mars et plusieurs pyramides.

 

Voir article : Civilisations sur Mars : exposé sur le monde de l’étrange et de l’inconnu

 

Le chercheur le plus érudit sur le sujet est le journaliste scientifique Richard Hoagland qui a déjà agi comme conseiller auprès du centre aérospatial Goddard de la NASN7.

 

L'une de ses équipes a établi une comparaison entre les phénomènes apparemment artificiels observés à la surface de Mars, entre autres le visage et les pyramides, et la disposition des cromlechs à Avebury dans le Wiltshire en Angleterre, à Silbury Hill (le monticule artificiel le plus élevé en Europe) et ailleurs. Il affirme qu'ils sont pratiquement des copies conformes.

Le plateau de Gizeh en Égypte s'appelait autrefois El-Kahira, dérivé de l'arabe El-Kahir qui signifie Mars.

 

Des manuscrits anciens révèlent que l'on mesurait le temps en fonction de Mars, que les ides de mars (le 15) étaient une date importante du calendrier martien, ainsi que l'était le 26 octobre.

 

Le 15 mars marquait le début du printemps et le 26 octobre la fin de l'année dans le calendrier celtique. Il semble que le nom Camelot, tiré des légendes arthuriennes, signifie ville martienne ou ville de Mars.

 

Il est entendu qu'aucun lien ne peut exister entre Mars et la société humaine car la planète rouge fut détruite voilà des millions d'années.

 

Est-ce bien vrai ? Nous le croyons car nous nous fondons sur la version officielle telle qu'on la répète depuis toujours mais, si on s'intéresse de près aux fondements scientifiques de cette assertion, on se rend compte qu'il s'agit davantage d'une opinion et non d'un fait prouvé.

 

Le Dr Frank Drake nous confirme la chose, qui occupa la présidence du département d'astronomie de l'université Cornell :

 

« Nous avons longtemps cru que l'univers recelait une abondance d'étoiles regroupées en galaxies mais nous avions sous-estimé la variété et la quantité de matières présentes dans l'espace d'environ un billion. Autrement dit nous nous sommes royalement fourvoyés ! »

 

Sauf qu'on a longtemps considéré une erreur monumentale comme la vérité et la chose se reproduit de nos jours, car les médias sont d'avis qu'un scientifique qui prend la parole dit incontestablement la vérité.

 

Une autre théorie fait son apparition, qui concorde assez avec la version officielle, à l'exception d'une chose importante sur laquelle elle diverge.

 

Selon les deux versions, il y aurait déjà eu sur Mars de l'eau, de la végétation et une atmosphère qui auraient favorisé la vie telle que nous la connaissons.

 

Les deux versions s'accordent en affirmant que des événements géologiques détruisirent un environnement favorable à la vie.

 

La seule divergence concerne le moment où le désastre serait survenu.

 

Était-ce il y a plusieurs millions d'années, ainsi que la science l'affirme officiellement, où était-ce il y a quelques millénaires à peine, ainsi que le soutiennent des chercheurs indépendants ?

 

La seconde proposition cadre à merveille avec l'anéantissement de l'Atlantide et de la Lémurie.

De nouvelles preuves semblent indiquer que la planète Mars aurait été détruite par un cataclysme semblable à celui qui a mis abruptement fin à l'Âge d'or sur Terre.

 

Dans les années 1950, Immanuel Velikovsky, un chercheur d'origine russe, avança que la planète que nous nommons Vénus, alors semblable à une énorme comète, entra dans le système solaire en causant la destruction sur Mars et en provoquant d'imposants dégâts sur la Terre.

 

Velikovsky fut couvert de ridicule et attaqué par la communauté scientifique ; aussi a-t-il dû énoncer une hypothèse valable. Toutefois, ses propos trouvent de plus en plus d'oreilles sympathiques.

 

Lorsque la sonde Mariner 9 prit des photos de Vénus, plusieurs des descriptions de Velikovsky se sont avérées justes, notamment ce qui semblait être la queue d'une comète.

Les photos que la sonde Mariner prit de Mars étayent quelques-unes de ses théories.

 

Il souligna que des peuples anciens décrivaient Vénus comme un objet très lumineux suivi d'une trace de fumée, dont l'orbite et la trajectoire étaient très différentes de ce qu'elles sont aujourd'hui.

 

Les Chinois, les Toltèques et les Mayas en ont témoigné. Les premiers écrits astrologiques des Sumériens ne font pas état de Vénus ; par contre, ceux des Chaldéens qui peuplèrent plus tard la région en parlent.

 

On décrit Vénus comme « un flambeau lumineux dans le ciel » qui « éclairait comme le Soleil » et « emplissait les cieux ».

Les gens ont du mal à concevoir le passé de la Terre car l'idée qu'ils s'en font est fondée sur leur expérience présente qui ne constitue qu'une faible fraction de l'histoire de notre planète.

 

Selon les mots de Velikovsky :

 

« Les récits de catastrophes qui peuplent les légendes anciennes sont souvent discrédités en raison de la conviction à courte vue selon laquelle les forces qui auraient façonné le monde autrefois sont encore à l'oeuvre aujourd'hui. C'est sur cette conviction que repose la géologie moderne et la théorie de l'évolution. »

 

Mon ami californien Brian Desborough a connu une expérience qui accorde de la crédibilité à son opinion relative aux thèmes abordés dans ce livre.

 

Brian est un homme de science qui a inventé la technologie fondée sur l'énergie libre, laquelle pourrait transformer la vie sur Terre ; il creuse le sujet des Illuminati depuis plus de 30 ans.

 

Son intérêt pour eux remonte au moment où il voulut prouver l'existence de Jésus pour bientôt se rendre compte qu'il ne le pouvait pas.

 

La duperie chrétienne le conduisit à une escroquerie de plus grande envergure, au même titre que ma première enquête sur la suppression de la connaissance spirituelle (et non religieuse).

Brian n'est pas un nouvel-âgiste illuminé assis sur un nuage. C'est un auteur et un chercheur pragmatique, à l'affût de preuves.

 

Dans les années 1960, il était à l'emploi de Boeing, le géant de l'aéronautique. Un groupe de physiciens qui travaillaient avec lui décidèrent d'étudier en privé les nombreuses anomalies rencontrées sur Terre et dans notre système solaire que la physique ne parvenait pas à expliquer.

 

Leurs conclusions abondèrent dans le même sens que les idées de Vehkovsky, sauf pour un écart de 3 000 ans à l'échelle du temps.

 

Selon eux, un immense corps céleste fit son entrée dans le système solaire vers le cinquième millénaire avant notre ère, que nous appelons Jupiter.

 

Son arrivée sema la pagaille parmi les autres planètes, ce qui explique leurs anomalies par rapport à leur direction et à leur vitesse de rotation. Jupiter serait entré en collision avec une planète qui se trouvait alors entre les positions qu'occupent Mars et Jupiter aujourd'hui.

 

Les débris de cette planète forment aujourd'hui l'anneau des astéroïdes qui occupe l'espace entre Mars et Jupiter.

 

Des médiums m'ont livré d'intéressants renseignements concernant le lien entre la planète Mars et la fin de l'Atlantide.

 

On affirme que l'un des trois cataclysmes qui ont détruit le continent est survenu vers l'an 10500 avant notre ère et qu'il fut provoqué par le passage de Mars à proximité de la Terre, en raison du détournement de son orbite originale.

On retrouve cette même idée en différents endroits et la vérité nous attend quelque part. James Churchward expliqua les cataclysmes de façon plus rationnelle.

 

Il affirme que d'immenses anneaux gazeux se trouvent sous la Terre et que l'explosion de ces masses de gaz provoquent des fractures de la surface terrestre.

 

Selon lui, de semblables anneaux gazeux se trouvaient sous l'Atlantide et la Lémurie.

 

Il reste à déterminer quels furent les déclencheurs des cataclysmes mais leur survenue ne laisse plus de doute.

 

Une idée semblable anime les milliers de tablettes d'argile retrouvées au XIXe siècle en Mésopotamie.

Elles racontent les mythes et légendes de la société sumérienne qui vit le jour après l'un des cataclysmes qui fit s'engloutir l'Atlantide.

 

Sumer remonte au quatrième millénaire avant notre ère mais des civilisations ont existé dans cette région des dizaines de milliers d'années avant cela, selon la documentation de James Churchward.

 

Au cœur des comptes rendus sumériens se trouvent les dieux que l'on appelait les Anunnas ou fils de An.

 

Par la suite, on les désignerait par leurs appellations sémitiques AN.UNNA.KI (ceux qui vinrent sur Terre depuis le Ciel) et DIN.GIR (les vertueux de la fusée auréolée de flammes).

 

On les connaît mieux sous l'appellation de Anunnaki et c'est ainsi que je les désignerai.

Les Anunnaki appartenaient à une race reptilienne venue d'étoiles lointaines.

 

Selon Zechariah Sitchin, l'expert qui a traduit les tablettes sumériennes, ces dernières relatent une collision entre les lunes d'une planète appelée Nibiru et une autre dont l'orbite l'aurait conduite entre les positions qu'occupent à présent Mars et Jupiter.

 

Toujours selon la traduction des tablettes sumériennes de Sitchin, les débris de cette gigantesque collision auraient formé un anneau d'astéroïdes.

 

Les comptes rendus sumériens sont quelque peu différents quant aux détails mais sur le fond ils vont en ce sens.

 

Selon la version de l'événement telle que proposée par les physiciens à l'emploi de Boeing, un fragment de Jupiter vola en éclats après une collision avec une autre planète.

 

Ce corps céleste aurait été la Vénus actuelle. Elle fut alors projetée vers Mars où elle détruisit l'atmosphère et la vie sur cette planète (la mission Pathfinder a permis d'établir que les rochers à la surface de Mars ont plus de 10 000 ans).

 

Après avoir ravagé la planète Mars, la comète Vénus fut attirée par la force gravitationnelle de la Terre.

 

Elle accomplit plusieurs orbites autour de la Terre où elle causa les tsunamis qui provoquèrent la fin de l'Âge d'or et précipita de grandes quantités de glace ionisée vers les pôles, avant de prendre la position qui est celle de Vénus aujourd'hui.

 

Sur le plan chronologique, les plus anciens manuscrits mésopotamiens et sud-américains ne parlent pas de Vénus alors que d'autres plus récents y font référence, d'autant que des sacrifices humains présidaient au culte vénusien.

J'en parle en détail dans mon livre Le Plus Grand Secret et plusieurs mystères se trouvent du coup expliqués, notamment la congélation des grands mammouths en position debout qui furent surpris par le froid.

 

Voir article : L'énigme des mammouths congelés

 

Les mythes et légendes anciens sur la fin de l'Âge d'or se trouvent confirmés dès lors que l'on accepte l'irruption de Vénus dans notre système solaire.

 

Ce qui importe davantage, c'est que les conclusions de Velikovsky, des physiciens de chez Boeing et d'un nombre croissant de chercheurs ramènent la fin de la vie sur Mars à la période qui marqua l'engloutissement de l'Atlantide et de Mû.

 

Brian Desborough propose que la fin de l'Âge d'or sur Terre fut la conséquence de la fréquentation entre les humains et de nombreuses espèces extraterrestres et inter dimensionnelles au cours d'une période qui dura des centaines de millénaires.

Il estime, à l'instar de ses collègues de chez Boeing, que la Terre était beaucoup plus près du Soleil avant les cataclysmes et que l'orbite de Mars la conduisit là où se trouve la Terre à présent.

 

Deux scientifiques indépendants, le Dr C.J. Hyman et C. William Kinsman, énoncent l'hypothèse que la Terre a déjà suivi l'orbite actuelle de Vénus et que Mars se trouvait là où nous sommes en ce moment.

 

Selon d'anciennes légendes, les jours sur Terre ont déjà été plus courts qu'ils le sont aujourd'hui et les humains vivaient plus longtemps.

 

Si les profonds canyons à la surface de Mars ont été creusés par des torrents d'eau, il faut que l'atmosphère y ait été plus chaude car, de nos jours, il y fait si froid que l'eau se transformerait sur-le-champ en glace et que le vide atmosphérique transformerait vite l'eau en vapeur.

 

Selon Desborough, en raison d'une orbite plus rapprochée du Soleil, les premiers habitants de la Terre auraient eu la peau noire afin de se protéger de la puissance de ses rayons.

 

Des squelettes trouvés non loin de Stonehenge et sur la côte occidentale de la France ont les caractéristiques nasales et dorsales de nombreuses femmes africaines.

 

Les artefacts, statuettes et représentations anciennes laissent croire qu'une race évoluée de type négroïde a existé sur Terre.

Les tablettes sumériennes racontent comment les Anunnaki ont quitté la planète pour échapper à la destruction et indiquent qu'ils ont pu la provoquer.

 

Les seuls survivants de la catastrophe furent les extraterrestres dotés de la technologie qui leur permit de fuir et les humains qui trouvèrent refuge dans les profondeurs souterraines ou sur les cimes rocheuses pour échapper à la crue des eaux, laquelle a atteint, selon l'étude des physiciens de chez Boeing, 10 000 pieds.

 

La Terre est creusée de tunnels et de cavernes naturels et artificiels dont les origines remontent à la nuit des temps.

Plusieurs villes souterraines ont été mises à jour, notamment dans les plateaux de Cappadoce (en Turquie) qui pouvaient abriter des milliers d'individus.

 

La région de Cappadoce était un centre important pour les Phéniciens et vit naître Georges de Cappadoce qui devint ultérieurement saint Georges d'Angleterre.

 

On a mis à jour 36 villes souterraines en Cappadoce jusqu'à présent et quelques-unes recèlent des édifices de huit étages.

Les systèmes d'aération y sont si efficaces que l'on trouve de l'air frais huit étages sous la terre.

 

On a également découvert 30 villes et complexes souterrains près de Derinkuyu, toujours en Turquie.

 

C'est la nécessité de survivre après le déluge qui poussa les humains à se lancer dans l'agriculture à une altitude de 10 000 pieds plutôt que dans les plaines fertiles.

 

Une étude menée par le botaniste Nikolai Ivanovitch Vavilov révèle que les 50 000 espèces végétales sauvages du monde entier qu'il étudia provenaient toutes de huit régions précises, toutes montagneuses.

 

Selon James Churchward, cela s'explique parce que les montagnes auraient été formées lors des cataclysmes et qu'en conséquence plusieurs basses terres auraient alors été élevées à haute altitude.

 

Selon d'anciens manuscrits, après les cataclysmes, lorsque la Terre se fut calmée, les survivants auraient quitté les hauteurs des montagnes de la Turquie actuelle pour retourner vers les plaines fertiles de la Mésopotamie.

 

Selon la Bible, après le Déluge, la symbolique arche de Noé se serait échoué au mont Ararat en Turquie.

Les tablettes sumériennes racontent également comment les Anunnaki revinrent dans leur contrée dévastée afin de la reconstruire ; la civilisation issue de cette reconstruction nous est connue sous le nom de Sumer.

 

Pour ma part, je crois que de nombreux événements dont font état les tablettes sumériennes renvoient à Mû et à l'Atlantide.

 

Quelques chercheurs sont d'avis que les vestiges des cités Anunnaki antédiluviennes peuvent être retrouvés sous le golfe Persique qui s'est creusé et élargi après les bouleversements.

 

Quelques-unes des grandes structures de l'Age d'or survivent encore aujourd'hui et peuvent être vieilles de centaines de milliers d'années. D'autres sites ont été reconstruits par les Sumériens voilà environ 6 000 ans.

 

Je crois que Stonehenge et Avebury appartiennent à cette dernière catégorie mais pas nécessairement les pyramides de Gizeh et assurément pas les époustouflantes structures qui subsistent en Amérique du Sud.

Elles remontent à l'Âge d'or, à n'en pas douter ! Vous trouverez des preuves plus détaillées de ces cataclysmes dans Le Plus Grand Secret et When The Earth Nearly Died, ainsi qu'une liste d'autres ouvrages portant sur le sujet.

 

Les ouvrages de Velikovsky sont énumérés à la bibliographie. On a supprimé cette information des grands courants scientifiques et médiatiques tout simplement à cause des répercussions qui en découlent.

 

Toutes nos certitudes tomberaient l'une après l'autre comme des dominos. La matrice qui nous contrôle n'échappe pas à cette loi.

 

Les Illuminati font des heures supplémentaires pour nous empêcher de faire tomber un domino car sa chute entraînerait celle de tous les autres.

 

Leur mainmise sur la version officielle de l'Histoire est l'un de leurs principaux dominos.

 

Si nous savions qu'une civilisation très évoluée a existé avant la nôtre, qui fut anéantie par des catastrophes géologiques malgré une technologie de pointe, nous verrions la vie sous un jour différent.

 

La version officielle de l'évolution humaine ne tiendrait plus. Nous nous demanderions qui étaient ces gens, d'où ils venaient, d'où ils tenaient leurs connaissances et leurs techniques.

 

Soudain les mystères de l'Égypte ancienne et de Sumer nous paraîtraient moins impénétrables.

 

Et si les civilisations égyptienne et sumérienne furent fondées autour de ces connaissances et techniques, cela signifie que les cataclysmes comptèrent des survivants.

Où sont passées leurs connaissances pendant plusieurs millénaires et qu'est-il advenu de leurs descendants ?

 

Dès qu'un trou se forme dans une digue l'eau commence à y couler. Voilà pourquoi les Illuminati n'ont ménagé aucun effort, par le biais des religions et des sciences, pour supprimer toute connaissance susceptible de révéler la véritable histoire de l'humanité.

 

Dès lors qu'on sait cela, le brouillard se dissipe peu à peu.

 

Source : Extraits de « Les enfants de la Matrice », David Icke.

 

Source : lesavoirperdudesanciens.com